Les règles de procédure pénale rendent inutile au moins la moitié du temps de travail d’un officier de police judiciaire. Peut-on vraiment persister dans une telle aberration ?
Le ministère de l’Intérieur doit sortir de sa passivité et prendre des décisions pour dégager la filière judiciaire de ce cycle infernal.
Pour illustration, ci-joint une interview qui témoigne du sentiment d’abandon des OPJ face à des contraintes qui font perdre tout son sens à leur mission d’enquêteur. (désolé, problème avec le flux vidéo… l’image ne passe pas…)