L’émotion est immense dans ce drame qui emporte deux de nos collègues policiers, gradés à la BAC, et laisse un autre grièvement blessé. Nos pensées vont vers leurs familles et amis.
Dans une tribune ouverte par le journal Marianne, le secrétaire général du SCSI ne fait pas dans la langue de bois et remet en perspectives les véritables enjeux des redéploiements PN/GN comme il l’a déjà fait pour les opérations de restructuration des services. Modifier les situations existantes doit répondre à une cohérence, à des objectifs
Après avoir réagi par communiqué de presse aux déclarations du représentant de l’UNRPG, principale association des retraités de la gendarmerie, le secrétaire général du SCSI a voulu rafraîchir cette mémoire sélective qui consacre son temps à discréditer la police nationale et lancer des polémiques stériles. (Voir le courrier ci dessous). Le lobbying permanent exercé par
Le projet initial revient sur ses principaux écueils mais laisse toujours dubitatif sur les effets positifs attendus. La réorientation annoncée est donc une bonne nouvelle à prendre avec précautions, qui pourra s’avérer acceptable ou problématique selon les services qui seront concernés. En tout état de cause, la DCSP doit s’attendre à connaître les effets secondaires,
Le SCSI présente une synthèse de ses constats et propositions sur l’avenir de l’Information Générale, dans un document remis à Monsieur le ministre de l’Intérieur, ainsi qu’à Monsieur le président de la Commission des lois, saisi de cette thématique et dont le rapport est attendu pour la fin mars.
Même en s’y attendant, l’annonce de nouveaux redéploiements entre PN et GN amène son cortège d’incohérences et signe un nouveau recul pour la police nationale, et notamment pour ses officiers. La question n’est pas tant celle des territoires qui passent de l’une à l’autre que celle des contenus de ces territoires. Car en pratique, pour
Le régime d’emploi des officiers de police n’en finit plus de révéler son inadaptation depuis le protocole de 2007, tant sur la gestion du temps de travail que sur le volet indemnitaire, sans compter la perte de postes de chefs de service “de plein exercice” qui s’opère au détriment des officiers à chaque restructuration. Dans