Il n’est pas dans nos habitudes de verser dans les mises en cause in personam, et s’il faut le faire c’est avec d’autant moins d’allant quand nous sommes amenés à réagir contre le comportement inacceptable d’un cadre supérieur de la Police Nationale dont le niveau de responsabilité appelle, en principe, à l’exemplarité. Hélas, dans le
Les ministres changent, les administrations restent. Au point que dans la durée, on peut se demander qui décide ?…Voilà en substance la problématique que le SCSI a exposée directement au ministre de l’Intérieur et ses proches collaborateurs, à travers le sort souvent malheureux ou contrarié de nombreux dossiers relatifs à la situation des officiers de
Syndicat des Cadres de la Sécurité Intérieure Chers collègues, alors que des tracts de désinformation continuent à être diffusés par certains, le SCSI poursuit avec la même énergie son combat pour la défense des officiers . Comme vous pourrez le lire dans l’article ci-dessous, si le SCSI était favorable à la réforme de l’IGPN
COMMUNIQUÉ DE PRESSE RÉFORME PÉNALE : on a évité le pire ! Le Syndicat des Cadres de la Sécurité Intérieure (SCSI majoritaire chez les officiers de police) prend acte des arbitrages rendus par le Président de la République dans le cadre de la réforme pénale préconisée par la Ministre de la Justice. L’abandon de la libération
Paris, le 1 septembre 2013 COMMUNIQUÉ DE PRESSE Saisine par internet de la police des polices : pour quoi faire ? et pourquoi seulement les policiers ? Si le SCSI est favorable à la plus grande transparence et à la recherche de tous les moyens pour rapprocher la police de la population, il ne peut
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Le SCSI percevait depuis quelques temps déjà que la tension s’accentuait au sommet de l’état concernant le projet de réforme pénale. Ce « couac » n’en est que le regrettable reflet palpable. En effet, malgré nos demandes réitérées, symptomatiquement , les tables rondes police/justice n’ont jamais eu lieu. Le SCSI a dénoncé maintes fois
– Communiqué de presse – Le SCSI constate une nouvelle fois la persistance de failles importantes dans le processus pénal Français. En effet, le premier août à Dreux, la remise en liberté de 3 malfaiteurs faute de place dans la prison locale, illustre une nouvelle fois cette triste réalité. Cette décision inquiétante porte préjudice non seulement au travail des policiers